L'amitié (Nahel)
C’est le souhait de chacun
D’avoir un solide soutien :
Un ami pour la vie.
On se rencontre, on se reconnaît,
On s’apprivoise, une histoire naît.
Dans le cœur de tous,
Les doutes s’effacent.
Les années passent
Et les liens d’amitié,
Que l’on croyait impossible à ébranler
Sur leur fondement se mettent à trembler !
Sous un ciel d’orage,
Les cœurs se ferment et les esprits s’égarent.
Des mots sont prononcés,
Alors qu’on les a à peine pensés !
Mais il est trop tard !
Comme un coup de poignard,
Dans le cœur de l’autre, ils se sont enfoncés.
Le poison de l’orgueil et de la fierté,
Dans chaque blessure s’est glissé.
Impossible de faire le premier pas pour s’excuser.
Car chacun se sent par l’autre trop blessé.
Et le temps se charge d’éloigner,
Ceux que l’on aurait jamais crut quitter.
Les blessures cicatrisent,
Tout en laissant un vide :
Impossible d’oublier
Les souvenirs des jours passés
Si les motifs de la rupture
Jours après jours s’effacent
Reste l’absence de l’ami
Et le regret que tout ce soit fini.
Le temps a chassé la rage.
Il faut évacuer l’amertume
Qui peut à peut nous consume
Pour trouver le courage
Et oser le premier pas
Afin que renaisse l’éclat,
D’espoir et de joie
Qui guide toujours nos pas
L’un vers l’autre et vice versa !
Amis, ces mots sont pour vous
Pour que malgré les ciels d’orage
Et les aléas de la vie,
Vous soyez convaincu
Que chez moi, vous serez toujours les bienvenus
D’avoir un solide soutien :
Un ami pour la vie.
On se rencontre, on se reconnaît,
On s’apprivoise, une histoire naît.
Dans le cœur de tous,
Les doutes s’effacent.
Les années passent
Et les liens d’amitié,
Que l’on croyait impossible à ébranler
Sur leur fondement se mettent à trembler !
Sous un ciel d’orage,
Les cœurs se ferment et les esprits s’égarent.
Des mots sont prononcés,
Alors qu’on les a à peine pensés !
Mais il est trop tard !
Comme un coup de poignard,
Dans le cœur de l’autre, ils se sont enfoncés.
Le poison de l’orgueil et de la fierté,
Dans chaque blessure s’est glissé.
Impossible de faire le premier pas pour s’excuser.
Car chacun se sent par l’autre trop blessé.
Et le temps se charge d’éloigner,
Ceux que l’on aurait jamais crut quitter.
Les blessures cicatrisent,
Tout en laissant un vide :
Impossible d’oublier
Les souvenirs des jours passés
Si les motifs de la rupture
Jours après jours s’effacent
Reste l’absence de l’ami
Et le regret que tout ce soit fini.
Le temps a chassé la rage.
Il faut évacuer l’amertume
Qui peut à peut nous consume
Pour trouver le courage
Et oser le premier pas
Afin que renaisse l’éclat,
D’espoir et de joie
Qui guide toujours nos pas
L’un vers l’autre et vice versa !
Amis, ces mots sont pour vous
Pour que malgré les ciels d’orage
Et les aléas de la vie,
Vous soyez convaincu
Que chez moi, vous serez toujours les bienvenus